Écoute mon cégat dans mon doudou comment ça les gardiens
Nous l'annonçons dans la patrie un rythme bien différent
Ma vie a voté pour abriquer la base de manière tropicale
Dominique Gauquin,
vieille de la cadence sentimentale
Ecoute mon cégat dans mon doudou comment ça les gardiens
Nous l'annonçons dans la patrie un rythme bien différent
Ma vie a voté pour abriquer la base de manière tropicale
Dominique Gauquin,
vieille de la cadence sentimentale
La neige qui t'a promélé a donné la poulet à son petit Péris
Pas tout ce qui t'a donné rité mania,
j'ai du danser avec la Betty
Dans sa sacoche tu t'en es rendu mania dans cégat réunionné
Ma vie a promélé,
promis,
ça fait part de mes sages abeilles et gabiers
Viens crasser,
cégat tropical En caleçon,
sous guet-t-tête,
cravate délavée
Dépuiser,
semis et sabots Deux filles,
un fillet,
un nouveau matras et jusqu'à grand matin
Viens crasser,
cégat tropical En caleçon,
sous guet-t-tête,
cravate délavée
Ecoute-moi,
c'est garde à mon doux,
ça commence à l'égard d'yon
Yolande,
dans la jante,
à la bafouille,
un rythme bien différent
Papeye,
à côté,
pour apriquer la base de manière tropicale
Dominique Gauquin,
vieille de la cadence sentimentale
Ecoute-moi,
c'est garde à mon doux,
ça commence à l'égard d'yon
Yolande,
dans la jante,
à la bafouille,
un rythme bien différent
Papeye,
à côté,
pour apriquer la base de manière tropicale
Dominique Gauquin,
vieille de la cadence sentimentale
La neige qui t'a promélé a donné la poulet à son petit Péris
La piscine qui t'a donné le rythme des manières,
je te danse avec la pétite
Dans ses accoutements,
tu as le rire de manière danséga réunionnée
Ma veille,
mon micro,
paye cette passe,
comme ça,
j'avais pris Gabier
Viens crasser,
cégat tropical En caleçon,
sous guet-t-tête,
cravate délavée
Dix puissées,
sonnies,
ses abeaux Deux filles,
un fillet,
un nouveau matras et jusqu'à grand matin
Viens crasser,
cégat tropical En caleçon,
sous guet-t-tête,
cravate délavée
Dix puissées,
sonnies,
ses abeaux Deux filles,
un fillet,
un nouveau matras et jusqu'à grand matin
Ecoute mon cégat,
mon vide commence à l'écart-jante
Une attente,
la sorte,
la partie,
un rythme bien différent
Ma veille,
mon micro,
applique la basse manière tropical
Deux minutes,
donc,
à vide,
dans ma cadence sentimentale
C'est le nexe qui t'a pas nuyer,
donne la coulée à son petit péril
Par tous ceux qui t'entendent,
le rythme de manière danséga réunionnée
Ma veille,
mon micro,
paye cette passe,
comme ça,
j'avais pris Gabier
En caleçon,
sous guet-t-tête,
cravate délavée Dix puissées,
sonnies,
ses abeaux
Deux filles,
un fillet,
un nouveau matras et jusqu'à grand matin
Et une cigarette tropicale
En passant sous les pieds de l'écran
Va t'élargir
Si plus c'est semis et d'avons
Nos pierres tières nous battent
Aux élus scands ronronnants