J'irai lui dire la valeur de ses yeuxQu'ils avaient la profondeur de nos cieuxJe sais qu'elle marche sans savoir qui l'aimaitQue c'est les jambes d'une autre qui l'apportaitJe l'entends murmurerAussi l'eau d'un grand mélangeMélange moiTes jambes m'élangentL'encre en moiC'est si doux la brûlureLà où ta main me touche à l'eauIl coule cette écumeDe ma boucheJ'irai lui dire que son cœur s'est fatiguéJ'irai lui dire que de l'eauElle s'est lasséeQue sa vireur est cachéeDe ma boucheDans le veloursDe l'immensitéQu'il est trop tard pour l'aimerElle s'est dissouteDans l'éternitéOcéan d'ombreMélange meMélange meMoiA tes jambesJe l'entends murmurerAussi l'eau d'un grand mélangeMélange moiL'encre en moiC'est si doux la brûlureLà où ta main me touche à l'eauIl coule cette écumeDe ma boucheJ'irai lui dire que son cœur s'est fatiguéJe lui crieLa, la, la, laQue l'on perçoitQue mon espoirNi le tempsSumme tout le mondePrend, tout le mondePrend, tout le mondeT'es les gens de mes langues, l'encre en moiC'est si bien voulu, là où ta main me toucheAu coup de cette cume de ma boucheOcéan d'ombre, mélange, mélangeT'es les gens de mes langues, l'encre en moiC'est si bien voulu, là où ta main me toucheAu coup de cette cume de ma bouche