Je
me barre si t'es pas content J'aurais pu
lire ce message dans tes yeux d'argent
J'ai cru que ce n'était qu'une image que du vent
Mais t'as claqué la portière et t'es parti devant
J'ai rangé ma fierté au fond d'un bois d'agant
J'ai vu passer l'orage et les faux-semblants
Mais t'aimais trop le goût du clash à s'y
casser les dents Vois qu'on disons s'attache aux salauds
délirants
Tu t'en vas et c'est dommage J'ai tout fait pour qu'on s'aime encore
Mais puisqu'il faut tourner la page,
ok Des ondes ont accumulé un vent
On ne va pas se mettre en cage Si d'autres ont eu nos dévores
Il est temps de serrer nos bagages,
tu sais On vivra d'autres petits morts
Toujours un truc qui déconne Je le vois sur ton visage,
ça ne trompe personne
C'est sûr que ça fait des ravages,
on se frictionne Si jamais j'oublie le nuage,
je l'ai dans mon
Lipton Mais ne plus me réveiller, près de toi
ça me sonne T'es dans l'auraignée,
qu'elles sont cortisone
Je la plage pas les marécages en lesquels on grisonne
Voir si ça nous soulage de cette vie monotone
Tu t'en vas et c'est dommage J'ai tout fait pour qu'on s'aime encore
Mais puisqu'il faut tourner la page,
ok Des ondes ont accumulé un vent
On ne va pas se mettre en cage Si d'autres ont eu nos dévores
C'est comme une fin d'ostage,
on sait Qu'on attendra pour une confine
On va finir à la nage,
on mange jusqu'au stéréophore
C'est vrai qu'on est un peu barges,
qu'on est métandoncés sur les repas
Tu t'en vas et c'est dommage
J'ai tout fait pour qu'on s'aime encore
Mais puisqu'il faut tourner la page,
ok Des ondes ont accumulé un vent
On ne va pas se mettre en cage Si d'autres ont eu nos dévores
Il est temps de faire nos bagages,
tu sais On vivra notre petite mort