It's not the man who takes the sea, it's the sea that takes the man. Me, the sea, it took me, I remember, on Tuesday. I loved so much Santiag and my leather, a little yellow. Against a pair of dark side and an old yellow wax. I deserted the crasses who told me, be careful. The sea is disgusting, the fish are low in color. As soon as the wind blows, I will leave. As soon as the winds turn, we will have it. It's not the man who takes the sea, it's the sea that takes the man. Me, the sea, it took me, at the sight, too bad. I had such a heartache on the sea in fury. I vomited my four hours and my midnight too. Je me suis cogné partout, j'ai dormi dans des draps mouillés. Ça m'a coûté des sous, c'est de la plaisance, c'est le pied. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, nous nous endallerons. C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme. Mais elle prend pas la femme qui préfère la campagne. La mienne m'attend pas au bout de la jetée. L'horizon est bien mort dans ses yeux délavés. Assise sur une bite d'amarrage, elle pleure. Son homme qui la quitte, la mer, c'est son malheur. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, nous nous endallerons. C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme. Moi, la mer, elle m'a pris comme on prend un taxi. Je ferai le tour du monde pour voir à chaque étape. Si tous les gars du monde veulent bien me lâcher la vape. J'irai aux quatre vents, foutre un peu le boxon. Jamais les océans n'oublieront mon prénom. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, nous nous endallerons. C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme. Moi, la mer, elle m'a pris, et mon bateau aussi. Il est fier, mon navire, il est beau, mon bateau. C'est un fameux trois-marins comme un autre. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, nous nous endallerons. C'est un fameux trois-marins fin comme un oiseau. Tabard, lit, pageau, kersoson et riguedel. Navigue pas sur les cageaux, ni sur les poubelles. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, nous nous endallerons. C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme. Moi, la mer, elle m'a pris, je m'en souviens, un vendredi. Ne pleure plus ma mère, ton fils est matelot. Ne pleure plus mon père, je vis au fil de l'eau. Regardez votre enfant, il est parti marin. Je sais c'est pas marrant, mais c'était mon destin. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, nous nous endallerons. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, nous nous endallerons. Dès que le vent soufflera, je repartirai. Dès que les vents tourneront, je me n'endallerons.