Comme un sourirePeu importe si on tombe, si les sourires nous relèventSi on s'accroche à nos rêvesAlors je m'abandonneAu temps qui passe, au bonheur infiniComme un dernier cri, un cœur qui batUn visage qui souritLe cœur un peu sauvageNoyé dans ces lumièresQui me sauvent d'un naufrageJ'ai peur du vide et des nuits blanchesPeu importe si on tombe, si les sourires nous relèventSi on s'accroche à nos rêvesAlors je m'abandonneAu temps qui passe, au bonheur infiniComme un dernier cri, un cœur qui batUn visage qui souritAlors je m'abandonneAu temps qui passe, au bonheur infiniComme un dernier cri, un cœur qui batUn visage qui souritAlors je m'abandonneAlors je m'abandonneAlors je m'abandonneAu temps qui passeAu bonheur infiniComme un dernier criUn cœur qui batUn visage qui souritAlors je m'abandonneAu temps qui passeAu bonheur infiniComme un dernier criUn cœur qui batUn visage qui souritComme un dernier criOh, oh, oh