J'entre dans ton van, je stone agresseurJ'accroche ta tête à ton rétroviseurEmballé par l'anus, ton cadavre sent bonJe m'approche et t'asperges de super sans plombEt puis tu t'enflammes comme un épouvantableC'est le délire infâme d'un mec épouvantableC'est inévitable, on t'explose les neuronesDu calibre 38 comme dans le corps de LennonTu vis dans la dèche, t'as l'odeur d'une chèvreEt toujours ton futa, l'acheté au bain de la dècheOn t'a rasé la tête, tu chiales et tu vomisTu convulses dans une odeur de pachouliOn déchire tes posters du KilimanjaroOn t'émascule sur du Manu ChaoTu seras la victime de type antipathiqueSans tes jambes tu t'enfiles comme un tétraplégiqueOn te bousille le crâne avec nos acidesLes babas coulent la vague, nos spermatozoïdesC'est ta copine en tâche sur nos polaroïdesJ'ai soif d'homicide et ta mort me soulageOn te fracture les os avec ta guitare sècheTu n'es que la victime de la guerre que je pêcheToi qui plaignais la paix, tu vas boire mon urineOn déroule ta copine sur un air de chien-véPlanté dans tes yeux, débattonné dansantTu me trouvais dansantJ'étais bien plus vicieuxDans ton sang tu patochesToi le végétarien, tu n'es presque plus rienQuand gros t'as le bidocheArmé d'une agrafeuse, nous serons ton calvaireOn asserre ta chair et ta chemise à fleursComme dans Carvoir, on te castra la tonailleOn vient à l'autopsie pour déguster tes entraillesOn travaille à ta perte, chaque jour que Dieu faitToi qui sous ecstasy, ne pensais qu'à te faireA t'y faire de pas de gaffe, on te défonce la têteTraité comme une truite dans un coin des toilettesEt puis tu t'affales sous les coups de nos bâtonsOn écarte tel ton chien pendant que tu comatesOn a la dent dure car nous sommes des orduresSale pute, c'est le kamasutra de la tortureOn te persécute sur le point de craquerAu tréfonds des ténèbres avec BellezébuteOn t'oscule comme un extraterrestreOn te dissèque dans un cabinet obscurOn t'offre l'enfer comme le docteur FaustOn te râche les viscères le jour d'automne holocausteDans un dépotoir, ton cadavre est ziméEt puis désormais je serai ton cauchemarOn te fracture les os avec ton cauchemarTa guitare sèche, tu n'es que la victimeDe la guerre que je pêcheToi qui plaides et la paix, tu vas boire mon urineOn déroule ta copine, ce renard de chambéPlanté dans tes yeux, des bâtons et dansantTu me trouvais dansant, j'étais bien plus que disqueuxDans ton sang tu patoches, toi le végétarienTu n'es presque plus rien qu'un gros tas de bidochesCrève et puis crèveSous-titrage Société Radio-Canada