Ils font les végétales, ils manquent beaucoup d'humilitéJ'te laisse dans ça l'état, on fait la pluie, l'humiditéJ'récupe la végétale, j'me sers gratuit, c'est ma citéSavant mort au détail, j'ai perdu toute humanitéJ'descend d'un bolide gris, j'ai le même toit qu'un ciel étoiléLes frères avant les filles, c'est la mentale, les grands m'ont forméIl m'faut le béreta, le cœur est vide, inhabitéJ'suis plein de vendetta, mais j'suis un tout de véritéÇa m'anime automatique, automatique, automatiqueJe suis le peintre de ma vie, je tue les craintes de ma filleAutant mes armes, autant mes amis, quand on me parle de tous mes ennemisPeu on les bat, guitare on sort, autant les faire, autant les finirUn pack de balles sur la porte d'hier, terrain poudre c'est l'accord d'hierAprès qu'la rafale est passée, t'auras plus jamais le corps d'hierIls aiment moins qu'j'vois ratard dans un sortilègeLes baisers j'ai taillé, j'suis sortilègeJ'attends les affaires que j'ai placées, dans plusieurs villes et régions portuairesH.S.P.S. mais j'ai perdu des gouttes de matelasJ'appuie sur la gâchette, le terrain d'aiseUn peu comme à la pote du noirCardinal, ils essayent de trouver mon patrimoineSi j'tire sur ton terrain, la beuh pousse, bléUn peu comme un gilatJ'me compte sur un yacht, j'sais plus où j'en suisLe vent souffle sur mes billetsTu nous fais le ghetto youth, quand tu nous appellesElle en détruit un d'ièsJ'ai les quatre anneaux sur le volant, jamais sur sa mainJ'vais la démarrer comme un putain d'GamosBeaucoup plus de Roro de DiamantQue sur les putains d'CantanosJ'tire sur ma beuh hollandaiseTu t'sens plus comme un mec qui baisaitQuand j'te parle, t'es chaud comme la braiseOn t'refroidit comme un icebergLes yeux sur le bif, rapide, elle a STOMais j'ai pas fait STL, j'ai pas besoin d'ma HatspePour compter les faux ou bien les sommesOn t'refroidit comme un icebergUn pack de balles sur la porte d'hierTerrain de poudre, c'est la cordièreAprès qu'la rafale ait passéT'auras plus jamais le corps d'hierIls aiment moins qu'j'vois atteindre un sortilègeLes blessés j'ai taillé jusque sortilègeJ'attends les affaires que j'ai placéesDans plusieurs villes et régions portuairesCache espèceMais j'ai perdu des gouttes de matelasJ'appuie sur la gâchette, le terrain glisseUn peu comme à la porte du noirJardinalIls essayent de trouver mon patrimoineSi j'tire sur ton terrain, la beuh pousse plusUn peu eux comme Agila