�������Rentrer les sous-parisans, qu'on t'enferme les uns��Que sont devenus nos vingt-uns, dans tes temps de temps��On sort d'été pour rester sur terre, à terre l'on tombe à terre��Et quand on t'étouffe tout est sans terre, et que tous sont sans terre��Il n'y a plus rien à t'enquerir, il n'en faut plus que ta mise en terre��Qu'est-ce qu'il y a ?��Y'a-t-il une vie après la mort, ou juste la mort après la vie ?��Moi j'vis à ma mort��La vie !��Et vis la mort du plus loin possible, mais si seulement...��C'était possible !��Chacune sera blanchie, sur ma terre��Toutes celles des vieilles banches, qui ont place dans mon cœur��Mes cœurs, donnent de la rancœur, à l'heure où j'reste moqueur��Telle est ma cure, pour oublier qu'un jour ce sera mon tour��T'en garder, les autres s'éclater��Profiter, de ta santé, et de la vélocité��Que j'aurais sans goût décaré, dans une existence de carré��Et pour tout le monde c'est la même, et au moins ça c'est carré��Mais ça aura quand même du mal à me consoler��Plus le temps passe, plus il nous casse��Pour tous, la mer nous entend��Plus le temps passe, plus il nous casse��Ma terre, nous dépend dans ce qu'on est de juvent��Plus le temps passe, plus il nous casse��Pour tous, la mer nous entend��Plus le temps passe, plus il nous casse��Ma terre, nous dépend dans ce qu'on est de juvent��Tout le poids du monde s'effondre sur ce corps fénestre écrasé��Tombé par des jets de bruit déprisé hier��Pas le temps, une bombe à retardement��Les vieux comptes s'éternisent, et pourtant l'horloge fait��Attise la hantise, provoquant les pires crises de stress et d'angoisse��Tout se passe��Dans une impasse de détresse��Sa tristesse��Remplace toute grâce à des restes, le vide s'installe et progresse��Laissé seul à ressasser ses soucis��Mais qui s'en fout si ses proches sont sauvés quand ça vise��Alors que l'assistance centrale ne lui reste qu'à décompter��Si elle joue car aujourd'hui qu'on terre��Plus le temps passe, plus il nous casse��Pour tous, la mer nous entend��Plus le temps passe, plus il nous casse��Ma terre, nous dépend dans ce qu'on est de juvent��Plus le temps passe, plus il nous casse��Pour tous, la mer nous entend��Plus le temps passe, plus il nous casse��Ma terre, nous dépend dans ce qu'on est de juvent��Plus le temps passe, plus il s'en tasse��Le temps ou quoi que l'on fasse��Pour tous, la mer nous entend��C'est la même dépendance��Au fond d'elle, du juvent��On va se faire reculer les géants de nos deux années de souffrance��Chaque minute, chaque journée��Nous a été compté��S'envier vieillir, perdre sa vitalité��Son insouciance, son insolence��Rongée par sa propre déchéance��Plus le temps passe, plus il nous casse��Pour tous, la mer nous entend��C'est la même dépendance��Au fond d'elle, du juvent��On va se faire reculer les géants��D'une ou deux années de souffrance��Plus le temps passe, plus il nous casse��Pour tous, la mer nous entend��C'est la même dépendance��Au fond d'elle, du juvent��On va se faire reculer les géants��D'une ou deux années de souffrance�Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org