Quand je suis ombrageux,
je pars à découvert,
de temps courant,
chemine le long des routes jusqu'au bord de la mer,
c'est l'automne.
Escandant le silence,
mes pieds cèdent à mon pouls,
je vais courant,
l'oxygène en semence me fait un garde-fou,
à la falaise,
tout s'envole.
Tant si peu de choses me rassurent un raison,
une chaise en paille en guise d'horizon,
me repose,
porter au loin ma faille et m'enfuir des salons,
éviter pour les chiens les abords des maisons,
je me battais de pierre une raison.
Ô puissante adage, ce qu'il faut pour se faire,
vient du courage,
ce qu'il faut pour se faire,
combien de miles ?
Ô puissante adage,
ce qu'il faut pour se faire,
vient du courage,
ce qu'il faut pour se faire,
combien de miles ?
Combien de miles ?
Combien de miles ?
Combien de mois ?
Tu peux expliquer à ça mettre l'eau en terre
Alors pousse en moi des chansons de fées d'hiver
Qui démange et dérange
Ô puissante adage, ce qu'il faut pour se faire
Bien du courage,
ce qu'il faut pour se faire
Combien de miles ?
Ô puissante adage, ce qu'il faut pour se faire
Bien du courage,
ce qu'il faut pour se faire
Combien de miles ?