Clémentine,
oh ma Clémentine,
Tu n'avais que dix-sept ans,
Et tes mines enfantine
Affolaient tous les garçons.
Oh Clémentine,
oh ma Clémentine,
Les braves gens des environs
Te donnaient
aux gentes gamines Où est le bon Dieu sans confession ?
Adieuse et orgueilleuse,
Quand les garçons suivaient tes pas,
Ton beau sourire semblait leur dire Oups ! non,
mes cires ne m'approchaient pas.
Hé Clémentine,
oh ma Clémentine,
Ta poitrine,
tes longs cheveux,
Tes beaux yeux bleus et ta jambe fine,
On ne fait plus d'un malheureux.
Mais tout ça,
oh ma Clémentine,
Se passait il y a longtemps,
Aujourd'hui,
voisins et voisines
Vont péter tes cendres de sang,
Et la main sur sa poitrine Le préfet fait son discours.
Pendant ce temps-là,
oh toi Clémentine,
Tu
repenses aux anciens jours,
Aux bras de personnes clémotines,
Après ça,
on ne t'approchera.
Et ce,
il ne fasse pas l'ermine, Clémentine,
ta vie est pour toi.
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