Ma TêteJe n'attrape plus les étoilesMon filet à ciel est trouéMon cœur sent l'amour dans ses voilesNe chante que pour ne pas pleurerNe chante que pour ne pas pleurerSouvent je me demandePour qui donc ton cœur batMa femme, mon émoiMon oiseau dur et tendreEt je vais ça et làJe flotte, je me promèneAu long des rues qui sontLes fleuves de ma peineParfois brusquement je rencontreUne femme que je prends pour toiEt durant de lourdes secondesJe me noie dans l'amour de toiJe me noie dans l'amour de toiEt je traîne de porte en porteA mes lèvres un œil effanéA cause de ma passion morteEn mon pays suis-je ?Je suis étrangerEn mon pays suis-je étrangerEn mon pays suis-je étrangerSouvent je me demandePour qui donc ton cœur batMa femme, mon émoiMon oiseau dur et tendreEt je vais ça et làJe flotte, je me promèneAu long des rues qui sontLes fleuves de ma peineAu long des rues qui sontLes fleuves de ma peineMa tête est une chambre noireAu mur tapissé de tes traitsJusqu'à la mort de ma mémoireJamais, jamais ne t'oublieraiJamais, jamais ne t'oublieraiJamais, jamais ne t'oublierai