La mer, je la vois, oui, je la vois en mon timage, au souvenir d'autrefois, au souvenir du pays.
Au souvenir du pays.
Au souvenir.
Il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi.
La mort me défend, et ce baiser, c'est devant toi, ce baiser, c'est devant toi, le calme, le péril, et sauve, sauve, ma part.
Qu'est-ce que c'est beau, qu'est-ce que c'est vil, je ne comprends pas bien.
Qu'est-ce que veut dire cela ?
Rien, rien.
Parlons de toi, la messagère, tu vas retourner au pays.
Oui, je vais, je vais, je vais, je vais, je vais, je vais.
Tu la verras, eh bien, tu lui diras.
La mort me défend, et ce baiser, c'est devant toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, il m'amène à toi, je vais, je vais, je vais, je vais, je vais, je vais.

La mort me défend, et ce baiser, qu'est-ce que c'est violent.
La mort me défend, et ce baiser, qu'est-ce que c'est violent.
La mort me défend, et ce baiser, qui le red coldera.
O souvenir ch'è n'il, O souvenir ch'è n'il,
O souvenir ch'è n'il, O souvenir ch'è n'il,
Je le vois à Montpellier.
Je le vois à Montpellier, O souvenir ch'è n'il,
O souvenir ch'è n'il, O souvenir ch'è n'il,
Je le vois à Montpellier.
Je le vois à Montpellier.
O souvenir ch'è n'il, O souvenir ch'è n'il,
O souvenir ch'è n'il, O souvenir ch'è n'il,
Du Pays.
Du Pays.
Du Pays.

...
Aplausos