Ils
sont partis pour gagner.
Les îles ne sont jamais rentrées,
Les rugissons du Pacifique,
Les remous des torrents d'Afrique,
Ont brisé le rêve magique,
Ouh,
ils sont tombés,
Ouh,
vers quel océan secret,
Ouh,
le vent les a emportés,
Ils ont retrouvé la lumière,
Ouh,
la liberté.
Oué,
Oué, la lutte elle a pandonné,
Oué, Oué, les giselles a t'envoigné,
Sommé, sommé, les cimelles ont dansalé,
Sommé, sommé, la guerre a traversé.
Si
tous ces dieux t'ont fait rêver,
Tu peux toujours t'embarquer,
Mais si la tempête t'enlève,
A l'heure où ton rêve s'achève,
Tu casses les mots sur tes lèvres, Ouh,
ta liberté.
Oué,
Oué, la lutte elle a pandonné,
Oué, Oué, les giselles a t'envoigné,
Sommé,
sommé,
les cimelles ont dansalé,
Sommé,
sommé,
la guerre a traversé.
Si tous ces dieux t'ont fait rêver,
Tu
peux toujours t'embarquer,
Mais si la tempête t'enlève,
A l'heure où ton rêve s'achève,
Garde bien ces mots sur tes lèvres,
Ouh,
ta liberté.
Oué,
Oué, la lutte elle a pandonné,
Oué,
Oué, les giselles a t'envoigné,
Sommé,
sommé,
les cimelles ont dansalé,
Sommé,
sommé,
la guerre a traversé.