Tu nuis, même si je passe sur les jours, même si je passe sur les nuits, blanche tu nuisAu fond de l'armise je range, le dernier cri où je m'arrange avec l'inondéJe ne sais pas si j'aimerais que tu restes, moi je t'écris sans cesse, je te préfère absent, au moins tu es là, au moins tu es làDes lustres que tu nuis, dans mon dos, lui ton nom, dans tes éclats de rire, tu nuisFlatte dans les creux, l'ennui résonne, où tu nuis mon tendre ami, blanche tu nuisJe ne sais pas si j'aimerais que tu restes, moi je t'écris sans cesse, je te préfère absent, au moins tu es là, au moins tu es làJe ne sais pas si j'aimerais que tu restes, moi je t'écris sans cesse, je te préfère absent, au moins tu es là, au moins tu es làOù sont passées les journées d'insouciance et les années fragiles