ParcelonMon bateau qui s'amarreLe bourdon d'un guitarEt mon cœurJ'ai revuSa terreux sur le ciel de septembreJ'ai revuLa fenêtre rilléeDe sa chambreJoue trop courtLe vent chaud caresse et n'envisageEt l'amourN'ont jeté des étoiles au passageParcelonSouvenir de nos nuits à l'étangD'un été qui meurentParcelonMon bateau qui s'amarreLe bourdon d'un guitarJ'ai revuSa terreux sur le ciel de septembreLe vent chaud caresse et n'envisageEt l'amourN'envisageN'ont jeté des étoiles au passageLe cheminMa monde est jusqu'au pont de jaliEt soudan te voilàC'est bien toi, rien n'en existeDe demainTous les deux nous irons vers la vieParcelonSous le pont dans le vent qui se lèveJe vois vivre mon rêveParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParcelonParceloParcelonParcelonParcelonParcelonAran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran.Aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran, aran.