Veille blanche plume dans la pince À l'heure où les lits grincentMa verve s'éveille, exsurgissent les pinces Poussées par la pince, les buts d'arpenteMétronome de la nuit, danse de talons, aiguilles et billes effrocéesPendant que j'arpente mes pensées sur mon âme penchéeVessie sombre, surfeuille immaculée, rimes grisesEt je peux te parler, que de ce qu'il me fait chier, faut que j'adjiseLa flamme, que les miens y croient, fonctionne ma chair griseIl se peut qu'un jour quelqu'un nous voie, donc je redouble d'esprit et d'esquisseAttaque la perfection comme la patte le récifLes pourritifs, rappel d'incisif, un créatif, j'essaie de l'êtreQuand l'émotion devient un feu vifL'alchimie s'en fait sans que je sois un homme de lettreQuoi de tu paraitre, je tape mes pions sur casse claireOn voit mieux sans caractère de verreOù as-tu vu d'austère, je perdure, pas les verres d'orComme le pain et la pierre, fort et humble, ouais, je tiens ça de mon pèreAlors, j'accoste les mélodiques d'avis sans la cocheUn journaliste en poste, équilibriste, introspectifUn ombriliste en prise de risque au maximumAvant que la cloche ne sonne, je façonneUn truc digne à laisser au minisomeC'est le minimumDu bon sensTrempé dans le bon sonRasé depuis en danseTombé du fondPas de chanceC'est le minimumJ'ai doublé le fondVise et la formeY'a pas de grimageQuand j'écris dans ce petit motC'est çaC'est le minimumDu bon sensTrempé dans le bon sonRasé depuis en danseTombé du fondPas de chanceC'est le minimumJ'ai doublé le fondVise et la formePas de grimageQuand j'écris dans ce petit mot19h, cadran solaireFeuilles désertes, orphelines de verreJ'traverse la ville, ligne de guerre, froid polaire*** de merde, freuse de crêpe qui observeÀ l'affût, noyant dans le fluxElle fuse, putain, l'échec scolaireVu, mère, munie par des fortunes diverses de reversElles m'aiment, son coup de poids de l'auto-reverseEnfermée, elles brisent et dans la polièreOn se bat pour être au lierDans le maniement de la langue de MolièreDiffuse mes peurs, mes craintes et mes colèresEn serre ma tête, irrigation massive de ma veine jugulaireTurbant vert, bardé d'armes tubulairesMa vie, je l'ai construite doucementEntre le pouce et l'auriculaireSulfureux départ et cru d'airMes eaux hantées, ironie du sortEn montée, y'avait plus d'airSuant, dans les salles exiguësMes frères arrivent fiersAvec des pulsations cardiaques aiguësMoi, plein de défauts et de qualité sans chaud insulaireJ'ai su à quoi m'en tenir dès ce moment où j'ai aperçu l'airUn rap de guerre, on se crée mystèreL'arynx est viscère, le travail de sape est tenduSeule attaque est claireLaisse des gorges serrées à merOn s'occupe du futileAlors que nous empoisonnent les firmes céréalièresD'être atteint de folies clairesSeule une victime dans l'universLes hommes, stupides amas de polymèresÉliminés dans du bon sensTrempés dans le bon sensPassés de contenceTombés du frontPas de chanceC'est le minimumGizlez le fondÉquisez la formeY'a pas de grimageQuand j'écris dans OptimumC'est çaC'est le minimumDu bon sensTrempés dans le bon sensPassés de contenceTombés du frontPas de chanceC'est le minimumGizlez le fondÉquisez la formeY'a pas de grimageQuand j'écris dans OptimumC'est çaC'est le minimumC'est le minimumC'est le minimumC'est le minimumC'est le minimumEt à cause des truissesBites au minimum mecSous-titres par Christophe Asselineau
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