J'ai pris comme une rafale
Le souffle court, le cœur nu
Jour après jour, tu me dévoiles
La voix du paradis perdu
J'ai fixé le temps sur ton visage
J'écris le nom avec mon corps
Les mains à travers le grillage Déracinant l'amour à gore
Justue le temps de mater l'hiver Et
laissez faire notre action magnétique
Refoulez la peur panique L'inconnu métaphysique
Et se laisser déborder sans manière Je
me perds dans cette pulse sans impudique
Perturbation céphalique Quelque chose de mécanique
Quand tu tournes autour de moi Je n'ai pas l'âme d'un samouraï
Je n'ai ni la vertu ni l'armure Je t'ai laissé naître la bagaille
Et puis rouler à ton allure
Moi qui pensais être de passage
Une parenthèse,
un maximor Tout ce violence d'une nuit sauvage
Que tu mets ma main sur ton corps
Justue le temps de mater l'hiver
Et laissez faire notre action magnétique Refoulez la peur panique
L'inconnu métaphysique
Et se laisser déborder sans manière
Je me perds dans cette pulse sans impudique Perturbation céphalique
Quelque chose de mécanique Quand tu tournes autour de moi
Quand tes yeux se posent comme ça
J'ai laissé faire notre action magnétique La tête dans les étoiles
Je ne peux rien,
c'est chimique Quand tu tournes autour de moi
Et frissons organiques Si près de toi je me réveille
Je ne vois plus rien d'anormal J'ai glissé dans les intervalles
Se lever dans des crics Vivre à l'horizontale
Je pose un peu magique Comme un jour de carnaval
Regarde, c'est un pic Qui perd son cœur animal
Quelque chose de létal Quand tu lèves ton dent d'ivra