Vous avez aimé le premier, vous adorez le second, ils reviennent, Imhotep, Keops, Shuriken,Malek Sultan, Kefren et Akinator, bien que pour vous, et pendant 5 minutes de total frénésiemusicale.Où le gentil se fait décalquer contre le mur, j'ouvre, je sors, qui c'est ? C'est nous,on monte ! Tu me *** habille-toi, on dégage dans quelques secondes, direction la frontièrepour aller à Aix, dans un vernissage d'art contemporain, tous dans le break.Imhotep, en avant, le soul swing est avec nous, il y a aussi Kader, Brahim, Lhasa, Dewaridans le coup, 30 minutes après, nous arrivons à Aix, où l'on parle pointu, où les jeunessont vexes.On fait donc une entrée, remarqué, dans l'atelier, les picassettes sont en plein effet devantle buffet, je vois les autres en compagnie de femmes, parler de peinture, Malek s'intéresserà la culture.Je suis ballonné, car je n'ai pas digéré les sandwichs de la soirée d'hier, du côtéde Terrier, tout autour de moi, le spectacle est dur, culture, peinture, sculpture, maisje vois dans le fond, nourriture, un coup d'épaule à droite, un coup d'épaule à gauche,virez-vous mesdames, que je m'emmerde plein les poches, je retraverse la salle pour boireun punch coco, quand j'aperçois, chill, planté devant un tableau.C'est neuf ? Ah, il l'a fait exprès, c'est un objet de culte, vous me ferez chigner quandvous l'aurez versé en adulte, car si cette chose est un tableau, ma sœur de dix anss'appelle Picasso, un mec s'est approché et m'a ***, cet auteur a du cœur, ah ouais,un ballonné qui utilise plus de deux couleurs, si je ne me trompe, son style, c'est du merdiqueen cubique, au débile, au gribouillage abstrait.C'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat,c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, un attentat violent, les deux pieds dans leplat, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est unattentat, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, un attentat violent, les deux pieds dans leplat.Quelque chose m'intrigue à quelque part de moi, il y a un attroupement autour de je nesais quoi, je me rapproche, jette un œil, oula, c'est quoi ça ? C'est de l'arme, mon cher,au cas où vous ne le seriez pas, je ne vois pas où il veut en venir, c'est pas que c'estmoche, mais il l'a fait avec l'oreille gauche, tout le monde me regarde d'un air ingénieux,quoi, qu'est-ce qu'il y a ? C'est pas de ma faute si c'est laid.Un autre me demande qu'est-ce que tu penses de ce délire, je lui ai *** l'auteur abusedes cigarettes qui font rire, et j'ai pris du ketchup dans ma main droite, j'ai choisiun d'Abo bien ***, splash ! Bien entendu, il y a bien eu cette musique bouillante, lescheveux dans le genre, Godefroy de Bouillon, pour s'extasier devant la tâche, se baintred'un chef, admirer la perspective, oh, les couleurs, quelle reliance !Mon estomac me tiraille, il faut que je ravitaille ma pence, je localise ma cible et je m'élance,trois sur le buffet, un rond sur les crevettes et le saucisson, je pourrais avoir un jambon ?Non, c'est bon.Je continue à goûter, tout ce qu'il y a sur la table, liquideaux solides, tout ypasse, rien ne m'échappe, je mors une biscotte et je sens le caviar.C'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat,c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, un attentat violent, les deux pieds dans leplat.C'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat,c'est, c'est, c'est, c'est, c'est un attentat, un attentat violent, les deux pieds dans leplat.Ne touchez pas la radio !Bonjour, je suis le Fabopède, t'as un exil ? Stop !Moi c'est Chill, 25 ans, élevé au patent, ce voici messire, émotif, président de notreclasse, sans de mots, le boss de la rose et du matos, mais ***-moi, tu te plingues dela laine ?C'est ouvre la bouche et les accords de Genève sont violés, ainsi que 20 résolutions surles armes chimiques, c'est bien beau d'être artiste, mais la douche ça existe !Je sors des WC et j'ai encore les glandes, je dois me défouler et je sens plus attendre,je fouille dans mes poches, j'en sors un stylo, puis m'approche ***crètement d'un tableau,je regarde autour de moi, bon, personne.Je cartonne, soudain, arrive derrière moi de crétins cosmiques, génial, cette lettresymbolique !Après avoir terrorisé tous ces artistes ivres, craché des noyaux d'olive dans latranche des convives, après avoir éteint, rallumé, éteint, rallumé, éteint, ralluméles méandres, on est parti et tous aimés, plein de genoux, puis une fois la porte fermée,on poussait ouf ! Deux ex-appareils et les concentrés de l'égoïe, qu'un jour oudeux ans après, I.M. fait toujours des attentats, c'est un attentat !c-c-c c-c... c'est un attentat ! Un attentat violent ! Les 2 pieds dans le blanc !c-c-c... C'est un attention ta ! c-c-c-c... c'est un attention ta !c-c-c... c-c-c... C'est un attention ta ! Un attentat violent ! Les 2 piedsdans le blanc !Il tousse la haie fort, jolie ment dessinéeIl tousse la haie fort, jolie ment dessinéeIl tousse la haie fort, jolie ment dessinéeIl tousse la haie fort, jolie ment dessinée