Quand la pluie sonne à Montcaro,
La pluie d'automne,
trop monotone,
À force d'eau,
partie de carre,
Jouer solo,
Chacqu'iron rôle,
Sans aucun tact,
tel un cabot.
La pluie de l'automne Me fond le cœur en plusieurs morceaux.
Paris les bains, Paris chagrin,
Paris station bernière,
Le pied marin ne me sert à rien,
Son bord de mer,
son brise-lame,
Et son cargo,
Adieu Paname,
tu
pleures trop.
sur
les carreaux,
Les lits frissonnent,
de la sambone,
Au maréchaud,
Entre les flaques,
gareaux pépins,
Des vieux énarques,
en mocassin,
Qui ne voient plus rien.
La pluie de l'automne Me fond le cœur en
plusieurs morceaux.
Paris les bains, Paris chagrin,
Paris station bernière,
Le pied marin ne me sert à rien,
Son bord de mer,
son brise-lame, Et son cargo,
Adieu Paname, tu pleures trop.
Quand la pluie chante,
Le même fado,
Cette insolente Mouille les tempes,
Glace les dos,
Darmins de l'an,
Ou grands de zoos,
Crachins hors d'âge, Bons ors d'usage,
Mes marrons chauds.
La pluie de l'automne Me fond le cœur en
plusieurs morceaux.
Paris les bains, Paris chagrin,
Paris station bernière,
Le pied marin ne me sert à rien,
Son bord de mer,
son brise-lame,
Et son cargo,
Adieu Paname,
tu pleures trop.
Sans demoiselle,
sur un piage haut,
Adieu Paris,
hasta luego.