Un jour le bon Dieu, le front soucieux, se *** mon vieux ton grand ciel bleu n'a rien de rose
Plus j'y réfléchis, plus je me *** qu'il manque ici un para*** ou autre chose
Il fit tenter bien avec ses mains et presque rien en un peu moins d'une semaine
Qu'il avait créé les champs, les prés, l'hiver, l'été et aussi les formes humaines
Il les convoqua, leur ***, voilà, avec tout ça vous n'avez qu'à vivre tranquille
Je vous en fais don, tout y est bon, mais attention à con***ion d'être docile
Et de me faire la promesse de ne pas toucher au pommier, non
Non, de ne pas toucher au pommier
Ah, non, de ne pas toucher au pommier
Le bon Dieu parti, Adam se ***
Ben, mon ami, t'es mieux ici que dans une usine
T'as une beauté, une poupée qui roulait
Comme pour tourner à la Goldwine
Et ce brave Adam passait le temps
En souriant béatement comme bien des hommes
Sans avoir idée que sa moitié puisse se flirter
Avec un représentant en pomme
Ève trouvait charmant et affolant
Ce beau Tarzan nommé Serpent
*** à Sornette
Qui sut l'envoûter, la fasciner
Lui faire croquer dans la pomme
Et perdre la tête
Au point d'oublier sa promesse
De ne pas toucher au pommier
Ah, non, de ne pas toucher au pommier
Non, non, de ne pas toucher au pommier
Tout commence ici, Ève en folie
Prit un beau fruit et le ten***
À son p'tit homme
Et ce brave Adam, toujours confiant
Appelle le temps, mor*** dedans
Comme une pomme
Lorsque Dieu l'a pris avec mépris
Il leur a ***, plus d'para***
Je vous condamne
À vivre et lutter, à travailler
Hiver, été et tout ça, c'est
C'est à cause d'une femme
C'est ainsi depuis que va la vie
Même aujourd'hui l'homme est trahi
Dans l'ignorance
Et le vieux pommier presque oublié
Est remplacé par le péché
De complaisance
Car les femmes tiennent leur promesse
De ne pas toucher au pommier
Non, de ne pas toucher au pommier
Car elles préfèrent goûter au péché
C'est si doux, c'est si doux
De pouvoir goûter au péché
Ah, c'est si doux, c'est si doux
De pouvoir goûter au péché
De goûter au péché