Posté devant la fenêtre juguette, les âmes esselées à la faveur de l'Ottawa. Posté devant la fenêtre je regrette de n'y avoir songé maintenant que tu abandonnes. À la faveur de l'automne revient cette douce mélancolie. Un, deux, trois qui est un peu comme on fredonne de vieilles mélodies. Privé devant le téléphone j'attends que tu daignes m'appeler, que tu te décides enfin. Toi tes allures de garçonnes rompiez un peu la monotonie de mes journées, de mes nuits. À la faveur de l'automne revient cette douce mélancolie. Un, deux, trois, quatre un peu comme on fredonne de vieilles mélodies. À la faveur de l'automne tu redonnes à ma mélancolie ces couleurs de super scopitane. À la faveur de l'automne. À la faveur de l'automne. Comment ai-je pu seulement être aussi bête, on m'avait prévenu, voici la vérité nue. Et là, et là. Manquerait plus que le mauvais temps s'y mette, une goutte d'appui et j'aurais vraiment tout perdu. À la faveur de l'automne revient cette douce mélancolie. Un, deux, trois, quatre un peu comme on fredonne de vieilles mélodies. À la faveur de l'automne tu redonnes à ma mélancolie ces couleurs de super scopitane. À la faveur de l'automne. À l'automne.