Dans la pénombre, chambre douze C'est sa belle ombre que j'épouse
La lune m'écoute, la nuit me trouble Je voyage solo sur mon lit double
La pluie tombe sur la chambre douze L'odeur des murs chante mon blues
J'y ai cru comme on croit en Dieu Seul je rejoins ce joint de bœuf
***-moi, qu'aurais-je pu faire de mieux Mais qu'est-ce qu'on y peut
Revenir une dernière fois Pour se dire adieu
***-moi, qu'aurais-je pu faire de mieux Mais qu'est-ce qu'on y peut
Revenir une dernière fois Pour se dire adieu
Pour se dire adieu
Pour se dire adieu, dieu, dieu, dieu, dieu
Pour se dire adieu
Même la poussière, chambre douze Elle sent l'amour, elle sent la loose
Tout était clair, rien n'était sûr Il parlait vrai, il parlait dur
A la fenêtre, les taxis passent Les coupes s'enlacent et puis se lassent
Les bouches se touchent et puis se cassent Les histoires s'écrivent puis s'effacent
***-moi, qu'aurais-je pu faire de mieux Mais qu'est-ce qu'on y peut
Revenir une dernière fois Pour se dire adieu
***-moi, qu'aurais-je pu faire de mieux Mais qu'est-ce qu'on y peut
Revenir une dernière fois Pour se dire adieu
Pour se dire adieu
Pour se dire adieu
Pour se dire adieu, dieu, dieu, dieu, dieu
Pour se dire adieu
Pour se dire adieu
Pour se dire adieux
Pour se dire adieu
Pour se dire adieu, dieu, dieu, dieu, dieu
Pour se dire adieu, dieu, dieu, dieu, dieu
Pour se dire adieu
Pour se dire adieu