Je me souviens moi de ce musicien,
c'était la tanne à la maison.
Je me souviens moi de ce musicien,
c'était la tanne sur son violon.
Le temps n'est plus où passaient les violons,
quand tu étais dans la maison.
Il attend plus depuis tant de saisons,
le temps n'est plus
au violon.
Moi,
dans la maison-ville,
dans ma chambre-ville,
je passe l'été à écouter cette symphonie,
qui était si belle et qui me rappelle un homme fini.
Moi,
dans la maison-ville,
dans la chambre-ville,
je passe l'été à regarder les oiseaux qui
passent comme des menaces et j'entends le tombeau,
je n'entends personne.
Je me souviens moi de ce musicien,
un soir d'adieu à la maison.
Je me souviens moi de ce musicien,
et de l'adieu sur son violon.
Et chaque année,
lorsque l'année finit,
j'entends le violon de septembre,
et le passé comme une symphonie fait son entrée dans cette chambre.
Moi,
dans la maison-ville,
dans la chambre-ville,
je passe la nuit à écouter cette symphonie,
aujourd'hui finie et qui me rappelle que tu étais belle.
Moi,
dans la maison-ville,
dans la chambre-ville,
je passe ma vie à regarder les oiseaux qui
passent comme des menaces et j'entends le tonneau,
je n'entends personne.
Moi,
dans la maison-ville,
dans la chambre-ville,
je passe ma vie à écouter cette symphonie,
qui était si belle et qui me rappelle un amour fini.
Moi,
dans la maison-ville,
dans la chambre-ville,
je passe ma vie à regarder les oiseaux qui
passent comme des menaces et j'entends le tonneau,
je n'entends personne.
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