Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
C'était le soir, dans l'air par la brise attiedue, les bramines au front d'un lumière, le lumière,le lumière, appelait lentement la foule à la prière.Au fond du temple saint,parait des fleurs,je dors,une femme apparaît,une femme apparaît,je crois la voir encore,je crois la voir encore.La foule prosternée,la regarde étonnée,et murmure tout bas,voyez, c'est la déesse,qui dans l'ombre s'est dressée,et vers nous tend,montant les bras.Son voile se soulève,où, vision rêve,la foule est à genoux.Oui, c'était le soir,c'est la déesse,plus charmante et plus belle.Oui, c'était le soir,c'est la déesse,qui descend parmi nous.Son voile se soulève,et la foule part chez nous.et la foule part chez nous.et la foule part chez nous.Elle s'ouvre un passage.Son voile déjà nous cache son visage.Mon regard, hélas, lâcheur chanteur.Elle fuit, elle fuit.Mais dans mon âme soudain, quelle étrangeur d'air s'allume.Quelle faune au vent me consomme.Ta mère épouse ma main.Ta mère épouse ma main.Que nos cœurs l'amour s'empare et nous change en ennemis.Non, que rien ne nous sépare.Que rien ne nous sépare.J'irai de rester ami.J'irai de rester ami.Ah oui, j'irai de rester ami.Oui, c'est elle, c'est la déesse.Dans ces yeux, la vie nous unir.Et fidèle à ma promesse, je m'enferme, je veux te chérir.C'est elle, c'est la déesse.Et fidèle à ma promesse, je m'enferme, je veux te chérir.Oui, partageons le même sang.Soyez unis jusqu'à l'amour.AllezParlez.Nous allons estimer ce que faisons nousNous allons choisir ce que cela faitNous pourrons nous amener a UNIRNous sommes éetaannésC'est pouvře ou nem lécherLa으면 nous enikice