Quand tes cheveux s'étalentDes montagnes, des forêtsEt des îles aux trésorsQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQuand ta bouche se fait douceQuand ton corps se fait durQuand ton corps se fait durQuand le ciel dans tes yeuxD'un seul coup n'est plus purQuand tes mains voudraient bienQuand tes doigts n'osent pasQuand ta pudeur *** nonD'une toute petite voixQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQuand tu ne te sens plus chatteEt que tu deviens chienneEt qu'à l'appel du loupTu brises enfin tes chaînesQuand ton premier soupirSe finit dans un criQuand c'est moi qui *** nonQuand c'est moi qui *** nonQuand c'est toi qui *** ouiQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeEn mon corps, sur ton corpsLorsque je te vois, je te voisLourd comme un cheval mortNe sais pas, ne sais plusS'il existe encoreQuand on a fait l'amourQuand d'autres font la guerreQuand c'est moi le soldatQui meurt et qui la perdQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQue je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeQue je t'aimeQue je t'aimeQue je t'aimeOh, que je t'aime