pour éteindre le feu au cul de Marilou.Un soir, n'en pouvant plus de jalousie,j'ai couru au couloir de l'hôteldécroché de son clou l'extincteur d'incendie.Brandissant le cylindre d'acier,je frappe, paf !et Marilou se met à geindre.De son crâne fendu s'échappe un sang vermeilidentique au rouge sanglant de l'appareil.Elle a sur le lino un dernier soubresaut,une ultime secousse.J'appuie sur la manette,le corps de Marilou disparaît sous la mousse.